Selon la dernière étude Zenior/Ipsos,
les Français placent en moyenne le basculement vers la vieillesse à 69 ans.
Mais cette perception varie radicalement selon l’âge des répondants.
Les jeunes adultes âgés de 18 à 34 ans sont 20% à estimer que la vieillesse commence à 50 ans ou moins.
À l’inverse, près de 70% des 55-75 ans repoussent ce cap à 71 ans ou plus.
Ce décalage révèle que plus on vieillit, plus on redéfinit ce que signifie "être vieux". Logique !
Pour les seniors, la vieillesse n’est pas une question d’âge mais d’énergie, de santé et de capacité à rester actif.
Une leçon d’optimisme et de résilience, alors que la société continue d’associer vieillesse et déclin.
Pour les français, bien vieillir, c’est avant tout vivre pleinement, en conservant son autonomie, sa santé et son lien social.
L’étude révèle cinq dimensions essentielles pour un vieillissement réussi :
- L’autonomie physique et mentale, pour continuer à gérer son quotidien sans dépendre des autres.
- La santé et l’hygiène de vie, pour rester actif et mobile le plus longtemps possible.
- Le lien social et l’entourage, pour éviter l’isolement, fléau des personnes âgées.
- La sécurité et le confort, avec un accès aux soins, un logement adapté et des revenus suffisants.
- L’épanouissement personnel, pour poursuivre ses projets et se sentir utile.
Au final, on est tous le jeune de quelqu’un
et le vieux d’un autre !
Ah, et petite note en passant :
les métiers du grand âge, c’est 200 000 postes ouverts d’ici à 2030.
Avec plein d’opportunités déjà accessibles (soins médicaux, accompagnement social, soutien à la vie quotidienne, services à domicile ou en établissement...).
>> À lire aussi : Comment s'épanouir au travail, quel que soit son âge ?
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